Comment fatiguer un chiot : Les 4 façons d’y parvenir

Comment fatiguer un chiot
Partager l'article :
 
 
 

Vous avez l’impression que votre chiot ne se fatigue jamais ? Quoi que vous fassiez, les moments où il se pose vraiment sont plutôt rares ? Ou peut-être que vous avez simplement entendu parler de dépense mentale, qu’un chien ne se fatigue pas QUE physiquement, et vous aimeriez comprendre ce que ça cache ? Alors bienvenue ! Dans cet article on va voir ensemble tout ce qu’il y a à savoir sur comment fatiguer un chiot. Le chiot, c’est un peu différent d’un chien adulte. Lui, il n’a pas vraiment encore d’habitude, et vous allez découvrir qu’il y a une certaine manière de faire pour l’aider à tout de suite prendre les bonnes. On va commencer par comprendre comment « fonctionne » réellement un chiot, et donc comment vous devez vous y prendre en matière de fatigue. Ensuite on fera le tour des 4 manières qu’à un chien de se fatiguer. Où je vous parlerais concrètement des différents moyens que vous avez d’y parvenir. Et donc au bout de cet article, vous aurez toutes les cartes en mains pour fatiguer correctement votre chiot, et vous saurez comment faire même une fois votre chien devenu adulte. Commençons tout de suite et voyons ce qui fait que fatiguer un chiot ou un chien, ça n’est pas vraiment la même chose

Pourquoi avec un chiot vous devez faire très attention

Chiot et chien, c’est pas du tout pareil en matière de fatigue.

Pourquoi ?

Simplement parce que votre chiot, lui, il n’a pas encore trouvé ses marques. Il est encore dans sa phase « d’exploration », à découvrir notre monde. Et du coup il n’a pas vraiment encore d’habitudes en ce qui concerne la vie de tous les jours.

Parce qu’un vieux chien, il sait qu’au court de sa journée il va aller se balader.

Il sait ce qui va le fatiguer.

Et il sait ensuite à quel moment se reposer.

Il a pris un rythme, et il a en gros trouvé l’équilibre entre dépense et repos, pour pouvoir être bien dans ses pattes.

Alors qu’un chiot, tout ça, il ne le sait pas encore. Ce qui nous amène à notre premier grand principe à connaître avec un chiot, qui est…

1. Votre chiot ne dira jamais « Stop ». C’est à vous de lui apprendre à se calmer et à se reposer une fois le moment venu.

Surprenant, non ?

Votre chiot, lui, il ne sait pas encore à quel moment il doit s’arrêter. En fait, il ne se rend PAS compte du moment où il commence à fatiguer. Et donc il ne réalise pas qu’il doit s’arrêter pour se reposer.

Si vous sortez vous promener pendant des heures, il n’y pas un moment où votre chiot va s’arrêter net et vous dire « Eh mec, t’abuses là… Moi j’en ai marre. Je rentre me coucher ! ».

Non.

Votre chiot il ne réfléchit pas à tout ça. Il se contente de vous suivre, et tant que vous avancerez, il va simplement penser qu’il doit lui aussi continuer.

Et du coup, au début, c’est vraiment à vous de faire en sorte qu’il se repose. C’est votre rôle de chercher à le calmer pour lui apprendre à se canaliser et faire redescendre la pression, pour qu’il puisse recharger correctement ses batteries.

Et ça c’est traître quand on adopte un chiot pour la première fois. Parce qu’on a l’IMPRESSION que notre chiot pète la forme. Qu’il faut absolument lui trouver d’autres occupations pour le fatiguer. Alors que lui est juste sur-stimulé de partout et qu’il ne comprend pas qu’il peut se poser calmement et se reposer.

Pensez bien qu’un chiot de 16 semaines dort en moyenne entre 11 et 14 heures. Donc en partant du principe qu’il ne se réveille pas la nuit, il dort encore environ 3 à 6 heures au cours de la journée.

Et ça, c’est ce qui lui faut pour pouvoir bien se former. Ce qui est justement le 2ème grand principe à avoir en tête avec un chiot :

2. Votre chiot est en pleine croissance. Il a donc d’autant plus besoin de repos pour se former correctement.

Votre chiot, vous devez le préserver au maximum jusqu’à l’âge adulte. Jusqu’au moment où il aura terminé sa croissance (c’est à dire jusqu’entre 1 année et 2 ans, selon la taille de sa race).

Donc on lui évite les choses mauvaises pour son corps (comme de prendre des escaliers ou de faire des balades de 5 heures), mais aussi les choses mauvaises pour son cerveau, à savoir, de le sur-stimuler et de ne pas le laisser suffisamment se reposer.

Et en plus, est-ce que vous savez que vous aurez un chiot mieux éduqué s’il dort comme il faut ?

En fait, il y a des études sur le sommeil et la mémorisation du chien qui ont montré que votre poilu, quand il dort, ça permet à son cerveau de digérer ce qu’il a appris pour pouvoir correctement l’assimiler.

Bref, apprenez-lui à se reposer comme il faut, vous avez tout à y gagner. Moins de problème de santé, et un chiot qui deviendra ensuite un chien bien éduqué.

Découvrez en plus sur la santé du chien avec CaniMaster

Donc vous lui permettez de se dépenser, par exemple en le sortant le temps qu’il faut (pour savoir le temps idéal d’une balade, vous pouvez lire cet article : Les premières promenades : Tout pour être paré), et ensuite vous le calmez et vous l’incitez à se reposer.

Par exemple, vous pouvez essayer de vous asseoir au sol, le caresser gentiment et le féliciter doucement avec la voix quand il reste calme.

Et s’il s’excite et veut jouer ? Vous restez là, sans le regarder, sans lui parler, jusqu’à ce qu’il arrête et se calme, où vous pourrez le féliciter de nouveau calmement.

S’il a la bougeotte et vadrouille un peu partout même si vous êtes par terre (ça, c’était notre cas avec Günther), tentez de le retenir et de vraiment chercher à ce qu’il se calme et se pose tranquillement.

Et si vraiment vous avez le sentiment qu’il a encore trop d’énergie pour pouvoir se calmer, vous pourrez lui proposer une nouvelle activité parmi les 4 manières qu’on va voir tout de suite sur comment fatiguer un chiot…

Les 4 manières qui fatiguent un chien

Ça va ? Vous tenez le coup ?

Super.

Donc jusque-là, c’est surtout le cas du chiot dont on a parlé. Maintenant on va voir les façons qu’à un chien de se dépenser, mais qui s’appliquent cette fois autant à un chiot qu’à un chien adulte.

On va faire un tour d’horizon de tout ça. On va aussi voir les manières de mettre ça en pratique. Comme ça vous saurez tout sur comment fatiguer votre chiot.

Donc on commence tout de suite avec la première, et on va parler un peu des odeurs

Comment fatiguer un chiot : Renifler des odeurs

Vous ne serez pas surpris si je vous dis qu’un chien, ça renifle. Mais renifler, c’est pas JUSTE une simple occupation pour lui.

Pour bien comprendre, sachez que votre poilu a plus de 120 MILLIONS de cellules sensorielles olfactives. Nous, en comparaison, on en a à peine 5 millions (Oh, les petits joueurs !). Et donc en fait, les odeurs, c’est un vrai moyen de communication pour nos poilus.

Comment fatiguer un chiot : Renifler des odeurs

Du coup, quand votre chien fait un pipi durant votre balade, c’est un peu comme s’il venait de poster un Tweet. Un message qui va ensuite pouvoir être « lu » par tous les autres qui passeront par-là.

C’est pour ça que renifler, ça dépense énormément votre chien. Parce que pour pouvoir décrypter tous ces messages, il va faire fonctionner son petit nez, décortiquer toutes les « nuances d’odeurs » (pour bien capter le message), ce qui va le fatiguer.

Et donc comment l’utiliser à votre avantage ?

Simplement en gardant en tête que, quand vous sortez vous promener :

L’important, c’est pas de faire le tour du pâté de maison aussi vite que possible.

L’important, c’est pas d’aller jusqu’au bout du monde.

L’important, c’est de fatiguer votre chien. Et le meilleur moyen, c’est simplement en le laissant renifler les odeurs.

Et vous pouvez aussi en profiter directement chez vous :

  • Vous avez par exemple des tapis de fouille. C’est une espèce de paillasson avec de longs tissus, pour pouvoir y cacher des friandises que votre chien va retrouver en se servant de son nez.
  • Vous pouvez aussi jouer à cacher des friandises chez vous, qu’il doit ensuite retrouver.
  • Ou encore, vous avez des jeux de réflexion, dans lesquels vous planquez des friandises, et votre chien va devoir faire certaines actions en particulier pour pouvoir les récupérer. Comme ça en gros :
Comment fatiguer un chiot : Le Dog's Sudoku

Donc la dépense « olfactive », c’est la première manière de le dépenser. Ça fait partie des dépenses « mentales ».

Du coup maintenant, on va pouvoir parler de la deuxième manière, et on va se pencher sur la dépense physique. Mais attention, parce qu’il n’y a pas que la balade pour y parvenir !

Comment fatiguer un chiot : La dépense physique

À part la balade, est-ce que vous connaissez la 2ème manière de dépenser un chien physiquement ?

En fait, il y a aussi le jeu.

Et avec le jeu, ce qui est bien, c’est que vous n’avez même pas obligatoirement besoin de sortir de chez vous pour pouvoir pratiquer.

Le plus simple, c’est de jouer au Tir à la corde (qu’on appelle parfois « Tug », vu qu’en anglais on dit « Tug of war »). En gros vous prenez un jouet, vous inciter votre chiot à l’attraper et vous jouez ensuite à le bouger dans tous les sens.

Après, vous pouvez aussi très bien lui lancer des jouets, vous cacher chez vous en l’incitant à venir vous chercher, ou même jouer à la course si vous n’avez pas de voisin en dessous.

Et si vous voulez tout savoir sur comment jouer avec votre chien en appartement, cliquez simplement sur ce lien pour découvrir l’article que je vous ai préparé.

Et donc à côté de ça, vous pouvez aussi bien entendu promener votre chien. L’important, ça va être qu’il ait l’occasion de se dégourdir les pattes, de se dépenser, et comme je disais juste avant, de renifler des odeurs.

Mais pas besoin non plus de faire des balades de 3 heures. Parce que c’est pas ça qui lui permettra d’être réellement épanoui.

Et pour savoir si vous dépensez suffisamment un chien (cette fois, je parle bien de chien adulte, pas de chiot), c’est très simple :

S’il est sage et qu’il se contente de se reposer calmement quand vous êtes à la maison, c’est que vous faites du bon boulot. Qu’il est assez stimulé dans ses journées.

Et donc maintenant on va passer à la 3ème façon de fatiguer un chiot. À vrai dire, c’est quelque chose qui va le stimuler à la fois physiquement ET mentalement. Et cette manière, c’est simplement…

Comment fatiguer un chiot : La mastication

Vous connaissez l’importance de la mastication pour votre chien ?

Bien sûr, on pense au fait de mâcher qui va le fatiguer d’un point de vue physique. L’action de mastiquer. Donc c’est en soit une dépense physique.

Mais c’est en fait AUSSI une dépense mentale.

Parce que si vous lui donnez par exemple un os à ronger, ça lui demande de se concentrer pour attraper des bouts, les arracher, et les déchiqueter pour pouvoir les manger.

Et en plus, ce qui est vraiment bien, c’est que mastiquer permet à votre chien de libérer des endorphines, qui sont ni plus ni moins les hormones du bonheur. Donc :

  • Vous lui donnez quelque chose à mâchouiller : Il est content.
  • Il se met à mastiquer : Il libère des endorphines.
  • Vu qu’il libère des endorphines : Il est encore plus content.
  • Et en plus de tout ça : Ça le fatigue.

Le top du top.

Avec votre chiot, vu qu’il sera en plus en train de faire ses dents, ça sera d’autant plus important de lui donner pleins de trucs qu’il peut mâchouiller. Déjà simplement des jouets de différentes textures et de différentes matières, mais aussi des objets à ronger (par exemple des bois de cerfs), ou des friandises dures de taille adaptée.

Et même une fois adulte, vous pouvez continuer de faire pareil. Il en a besoin.

Et s’il ne touche pas la friandise que vous venez de lui tendre ? Ne pensez pas trop vite que mâchouiller, ce n’est pas son truc. Ça veut peut-être simplement dire que celle-là, il ne l’aime pas. Alors faites plusieurs tentatives et à force, vous apprendrez à connaître les goûts de votre chiot.

Après, quand vous lui donnez quelque chose à mâchouiller, restez quand même à portée et surveillez-le du coin de l’œil. Parce qu’il y a quand même un risque s’il s’amuse à avaler des morceaux trop gros de friandises, pas qu’il ne s’étouffe.

Et pour les objets comme les bois de cerfs, veillez juste à ce que votre chien n’y aille pas comme un acharné. Parce qu’on a déjà entendu des chiens qui se sont cassés les dents dessus, même si ça reste des cas isolés.

Comment fatiguer un chiot : La mastication

Voilà, on a vu les 3 premières manières de fatiguer votre chien. C’est à dire de renifler des odeurs, la dépense physique et la mastication. Et on va donc passer au 4ème et dernier point, qui est souvent le plus négligé de tous, et pourtant qui a clairement toute son importance. À savoir, la réflexion.

Comment fatiguer un chiot : La réflexion

Vous êtes toujours avec moi ?

Vous inquiétez pas, on a plus grand chose à voir. Bravo en tout cas d’avoir lu jusque-là. Vous allez bientôt être incollable sur les manières de dépenser un chien.

Donc le dernier point pour fatiguer un chien, c’est la réflexion. Le fait de pousser votre chiot à réfléchir. Qui va donc de nouveau être de la dépense mentale.

Parce que vous l’avez sûrement déjà remarqué, mais votre chien est clairement loin d’être bête. Il réfléchit comme vous et moi, et il est capable de pleins de choses. Du coup, ce qu’on va faire, c’est commencer à le considérer en tant que tel, et faire en sorte qu’il ne soit pas victime des colifichets… (Comprendra qui pourra. Et se manifestera dans les commentaires ?)

Pardon. Ce que je voulais dire, c’est qu’on va le considérer en tant que ce qu’il est, c’est à dire un animal intelligent qui réfléchit.

Et donc sachant ça, est-ce que vous voyez ce que c’est, les manières de dépenser votre chien en le poussant à réfléchir ?

Je vous aide un peu, il y en a 4…

Vous avez :

  1. Les séances d’éducation.
  2. Les jeux de réflexion conçus à cet effet.
  3. La mastication (dont on a déjà parlé, donc sur lequel on ne reviendra pas).
  4. Et les séances de jeu (Oui, on en a aussi déjà parlé dans la dépense physique. Mais vous allez comprendre pourquoi ça stimule aussi beaucoup votre chiot mentalement).

1. Les séances d’éducation

D’abord, l’éducation.

Parce que oui, apprendre des choses, ça fatigue le cerveau de votre chien. Simplement parce qu’il doit se concentrer pour comprendre ce que vous lui demandez, et ensuite réfléchir pour le refaire.

Si votre chien est tout excité chez vous, mais que vous n’avez pas vraiment le temps là tout de suite d’aller par exemple le promener, prenez juste 5 minutes pour faire un peu d’éducation. Ça devrait le calmer le temps que vous terminiez ce que vous aviez à faire.

Ensuite, les jeux de réflexions…

2. Les jeux de réflexion

Vous voyez ce que c’est ? Je vous en ai montré un juste un peu plus haut.

C’est simplement des jeux qui sont conçus exprès pour pousser votre chien à réfléchir. Plus haut, c’était le Dog’s Sudoku que je vous montrais, mais je vous en mets un autre juste-là :

Comment fatiguer un chiot : Le jeu de réflexion

Avec celui-là, votre chien doit tourner les petits tubes pour en faire sortir les friandises. Alors oui, pour tous ces jeux, les premières fois il faudra prendre le temps de lui apprendre à le faire. Mais vous verrez qu’après ça, ça sera un super moyen de le pousser à réfléchir.

Ensuite, comme autre stimulation mentale, on a la mastication.

3. La mastication

Eh, j’ai dit qu’on n’allait pas revenir là-dessus !

4. Les séances de jeux

Alors, est-ce que vous comprenez pourquoi le jeu, ça stimule aussi votre chien mentalement ?

C’est très simple, quel que soit le jeu, si vous voulez vous y prendre correctement, vous allez devoir commencer par apprendre certaines choses à votre chien.

Par exemple, pour le « Tir à la corde », vous allez avoir à lui apprendre à lâcher pour qu’il comprenne bien ce qu’il doit faire (ou peut faire). Et c’est en fait super important de lui apprendre à le faire. Parce qu’il doit être capable de se maîtriser et ne pas juste péter un plomb avec le jouet dans la gueule.

Il doit être capable de lâcher et s’arrêter quand vous le lui demandez. Il n’y a que comme ça que vous pourrez jouer de manière équilibrée.

Sinon, il y a aussi le « Va chercher » (de lancer un jouet qu’il doit rapporter). Ça, c’est clairement le top parce que votre chien doit :

  • Aller chercher le jouet,
  • L’attraper,
  • Le ramener jusqu’à vous,
  • Et le lâcher à vos pieds.

Donc je vous laisse imaginer à quel point il doit se concentrer pour ne pas bêtement l’attraper et partir en courant avec.

Si vous voulez tout savoir pour apprendre à votre chien à ramener la balle, je vous ai fait un article complet que vous trouverez en cliquant directement sur le lien.

Et donc voilà, maintenant, vous connaissez les 4 façons de fatiguer un chien. Enfin, vous connaissez en fait tout ce qu’il y a à savoir sur comment fatiguer son chiot !

Comme c’était assez dense, un petit récapitulatif des points importants, ça vous dit ?

Allez, c’est parti.

Comment fatiguer un chiot : On récapitule les points importants ?

Donc !

Comment fatiguer un chiot ? Les 4 façons, c’est :

  1. En le laissant renifler des odeurs. Ou en le poussant à le faire avec par exemple un tapis de fouille.
  2. En le stimulant physiquement. Donc vous avez entre autres la balade ou le jeu pour le faire.
  3. Grâce à la mastication. En lui donnant par exemple des friandises dures à ronger.
  4. Et enfin en le poussant à réfléchir. Ce qui peut se faire grâce :
    • Aux séances d’éducation,
    • Aux jeux de réflexion,
    • À la mastication,
    • Ou aux séances de jeu.

Avec un chiot, rappelez-vous que c’est un peu différent qu’avec un chien adulte. Gardez surtout en tête les 2 grands principes qu’on a vu, c’est à dire que :

  1. Votre chiot ne dira jamais « Stop ». C’est à vous de lui apprendre à se calmer et à se reposer une fois le moment venu. Et que…
  2. Votre chiot est en pleine croissance. Il a donc d’autant plus besoin de pouvoir se reposer pour se former correctement.

Ce qui est généralement recommandé, c’est de permettre à votre chien de se dépenser de toutes ces différentes manières pour être épanoui. Ce avec quoi je suis tout à fait d’accord.

Après, pas besoin non plus de vous torturer, à essayer de lui proposer TOUT, tous les jours. Pensez juste à varier les plaisirs et votre chien vous remerciera.

Et une dernière chose à bien comprendre, c’est que votre chiot aura ses préférences. Donc il préférera peut-être renifler des odeurs, ou plutôt les parties de jeu, ou encore de mâchouiller des trucs. Enfin bref, au fil du temps, vous apprendrez à connaître ses préférences, et vous saurez de mieux en mieux comment faire pour le stimuler.

Et sachez même que ses préférences peuvent changer au fil du temps. Donc s’il fait mine de ne pas aimer quelque chose, rien ne vous empêchera de retenter dans quelques temps de lui en proposer, même si c’est plusieurs années après.

J’espère que cet article vous a permis d’y voir plus clair. Et s’il vous reste des questions n’hésitez pas, les commentaires sont justement là pour ça.

Et vous, comment faites-vous pour fatiguer votre chien ?

Photos Unsplash par Sophie Elvis, Will et Ayla Verschueren


Partager l'article :
 
 
 

2 thoughts on “Comment fatiguer un chiot : Les 4 façons d’y parvenir

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *